Résultats lu par "Louis Sellin" dans Toutes les catégories

Ils sont miens, même s’ils ne le savent pas encore. Ainsi les Ombres en ont-elles décidé…Faible. Ratée. Inutile. Je suis une paria au sein de ma propre meute, parce que ma louve n’a jamais émergé, et je ne dois ma survie qu’à mon habileté au lancer de couteau. Quand mon père m’offre au plus cruel de ses loups, je m’enfuis et passe un pacte avec trois puissants alphas, pour qu’ils me protègent. Mais mon père me traque sans relâche, et lorsque l’accord passé avec les guerriers arrivera à son terme, je redeviendrai une proie. Ni mes poignards ni mes Ombres étranges ne me sauveront.

Ils m’ont trahie. Abandonnée. J’ai été torturée.Et la dette que j’ai contractée pour survivre risque de me coûter bien plus cher que prévu... La meute du grand nord devait être ma nouvelle famille. Pourtant, ma louve latente et mes ombres mystérieuses suscitent l’hostilité... tout comme la protection farouche dont m’entourent mes guerriers. Car j’ai beau leur en vouloir, ils sont une part de moi, des piliers dans mon chaos.

Mon père a gagné. Il nous détient tous les cinq et s’acharne à nous briser. Dans cet enfer, l’amour qui nous lie est notre force la plus puissante. Seule notre volonté de tenir pour les autres nous maintient encore en vie... mais pour combien de temps ? Pire que tout, Terdzik a fait de la Dévoreuse son arme absolue. Il prépare une guerre qui embrasera le continent et annihilera Grand nord. La situation est désespérée, et pourtant, nous nous battrons. Ensemble. Jusqu’à la fin. Plongez dans l’ultime volet de la série Tenebräe, pour un dernier voyage intense et haletant !

La vérité a éclaté, et le moins qu’on puisse dire, c’est que mes compagnons ne le prennent pas bien…La meute est au bord de la rupture, et l’hostilité à mon égard se ravive. Pour honorer ma dette envers les Nychtans, je dois percer les secrets du monstre qui vit en moi. Mais tandis que je découvre enfin des réponses et que la confiance avec mes compagnons commence à se reconstruire, tout bascule à nouveau. J’aurais dû savoir que les prédateurs n’abandonnent jamais leur proie... Le piège referme brutalement ses mâchoires sur nous. Et cette fois, je ne vois pas comment nous pourrons y survivre.