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Imaginez que votre enfant de 5 ans commence à vous appeler “Madame” parce qu'il entend son père vous appeler “Madame” une fois la procédure judiciaire entamée ! Imaginez que l'expert psychosocial vous qualifie de mère inadéquate dont le lien avec leur enfant “a été fritté,” alors que vos enfants vous disent que leur père les a enfermés dans une garde robe. Et puis, imaginez que les enfants se confient aux professionnels de leur école et que ces professionnels, qui ne comprennent pas l'aliénation parentale, transmettent les inquiétudes de l'enfant au parent aliénant ? Les enfants apprennent que s'ils font part de leurs préoccupations concernant le parent aliénant, ils auront des problèmes avec ce dernier.

Avec des règles très différentes chez leurs parents, les enfants de Rosie et Véroniques ont montré des signes d'anxiété, notamment lorsqu'ils ne collaboraient pas et ne travaillaient pas ensemble, et lorsqu'un parent se moquait de l'autre et lui manquait de respect. Les enfants touchés par l’aliénation parentale se referment et cela peut durer longtemps…voir souvent à la permanence. On parle d’enfants qui souffrent de maux de tête et migraines persistantes, insomnies, des crises d’anxiété, paniques nocturnes, de la méfiance envers le parent rejeté — un parent autrefois bien aimé. On dit aux parents aliénés qu'ils ne doivent pas parler de l'aliénation avec leurs enfants, et en conséquence ils doivent regarder leurs enfants souffrir, en les laissant découvrir eux-mêmes ce qu’ils vivent.

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Merci d'avoir écouté le balado Naviguer à travers l'aliénation parentale

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