Les Blasons du Corps Féminin. Poèmes du XVIème siècle
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Lu par :
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Gérard Philipe
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André Reybaz
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De :
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divers auteurs
À propos de cette écoute
- Le sourcil, de Maurice Scève ;
- Le regard, de Maclou de la Haye ;
- La joue, d'Eustorg de Beaulieu ;
- La bouche, de Victor Brodeau ;
- Les baisers, de Ronsard ;
- Les dents, d'Eustorg de Beaulieu ;
- La main, de Claude Chappuys ;
- L'embrassement, de Maclou de la Haye ;
- Le beau tétin, de Clément Marot ;
- Le ventre, anonyme ;
- Le puys, anonyme ;
- Blason tant du puys que d'une damoyselle ainsi nommée, de Jean Rus ;
- Le cul, d'Eustorg de Beaulieu ;
- La cuisse, de Jacques Le Lieur ;
- Le corps, anonyme ;
- L'ongle, de Gilles d'Aurigny.
"Corps féminin qui tant est tendre", gémissait le pauvre Villon. Emmêlant le blé à la cuisse, le lierre au torse, la colline à la croupe et le vent de la plaine aux baisers, les poètes du XVIe siècle - qui ont payé chacun de leur mot - nous livrent l'éblouissante image d'une création réconciliée où les termes de "corps" et "d'esprit" savent ne plus aller en s'opposant. Ils sont nos seuls poètes royaux parce qu'ils sont seuls à donner la recette qui permet à chacun de regarder le monde, la mort et le plaisir "à hauteur d'homme".©2017 Compagnie du Savoir (P)2017 Compagnie du Savoir
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