Résultats Éditeur "Saint-Léger productions" dans Catholicisme

L'étonnant fortune de cet ouvrage, œuvre de piété chrétienne de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle, tient du prodige. Longtemps, dans les monastères d'Europe aucun livre n'eut pareil succès, ce qui fit dire à Fontenelle : ""L'Imitation de Jésus-Christ" est le plus beau livre qui soit parti de la main d'un homme, puisque l'Evangile n'en vient pas". Au cours des siècles, l'influence de l'Imitation de Jésus-Christ ne s'est pas démentie.

Frère François naît à la fin du XIIe siècle, dans une Italie divisée par les guerres, entre les murs d'une petite cité moyenâgeuse : Assise...

La règle de saint Benoît - jeune texte de 1 500 ans - s'est toujours adressé providentiellement aux hommes et aux femmes en recherche de sens face à la brutalité du monde...

Voici l'histoire époustouflante d'un jeune séminariste plongé, à l'aube de la seconde guerre mondiale, dans la sinistre légion de Hitler.

N'a-t-on pas tout dit, tout écrit, tout publié sur sainte Bernadette Soubirous ? C'est sans compter avec le Père Marie Antoine, celui qu'on appelait le "Grand apôtre de Lourdes" qui "aidait la Sainte Vierge à faire ses miracles". Il a connu Bernadette, elle a reçu la communion de ses mains. Il s'en est fait le défenseur confiant quand on parlait de l'enfermer au cachot.

Quoi qu'en disent les pragmatiques à outrance, les utilitaires, ce que l'Homme cherche tout le long de sa vie, ce qu'il poursuit plus que le pain et tout le bien-être matériel, c'est le savoir. L'essence même de notre vie est de tendre non pas à être mieux, mais à être plus. Or, un instinct plus fort que toutes les remontrances des sceptiques et des faux sages nous en avertit : pour être plus, il faut d'abord que nous sachions plus.

Quel était donc le secret de Marthe Robin, cette petite paysanne qui, malade, paralysée, vivant loin de la célébrité dans une discrétion absolue pendant 60 ans, a reçu plus de 100 000 personnes...

La pensée du Père Teilhard de Chardin s'aère plus actuelle que jamais.

"Un génie mystique". Ainsi parlait le Pape Paul VI de celui qui prêcha, à sa demande, sa retraite au Vatican en 1972. Maurice Zundel, ce prêtre suisse né en 1897, vit depuis sa mort en 1975, un succès grandissant. Cela s'explique par l'aspect prophétique de cet étonnant mystique qui, dès le début de ses prédications, a placé l'homme au centre et au cœur de sa spiritualité. Transcendant les frontières humaines et religieuses, celui qui fut, entre autres, le confesseur de l'abbé Pierre, rejoint chacun d'entre nous, au travers de ses homélies (éditées), de ses livres (une vingtaine), et ses conférences (retranscrites).

Nous sommes habités par plus grand que nous-mêmes, mais nous n'en sommes pas conscients. Nous sommes pour ainsi dire endormis, emprisonnés dans le sommeil de l'insouciance ou de l'habitude. Nous avons besoin de nous éveiller aux réalités de la vie intérieure et de la foi, de décaper le verni de l'accoutumance qui les recouvre pour dynamiser et densifier notre vie, pour expérimenter à quel point elle est belle et à quel point elle est pleine de sens. L'enseignement des jésuites à la portée de tous.

L'humanité présente hésite et souffre, au comble de sa puissance, parce qu'elle n'a pas défini son pôle spirituel. Elle manque de Religion. En face du phénomène évident et inéluctable de la "totalisation humaine", la seule attitude possible est d'"accepter", de se fier, et de se lancer courageusement en avant, escomptant que la Vie, qui nous jette dans ce creuset, nous aidera à développer la chaleur spirituelle (les forces de sympathie et d'Amour) qui nous fera sortir de la transformation, non pas mécanisés, mais humanisés et personnalisés.

On constate actuellement que l'évolution des sociétés s'accompagne d'une perte de référence à la transcendance ; l'hédonisme ambiant, l'esprit libertaire, les découvertes biologiques et technologiques, les nouveaux modèles économiques et sociaux conduisant à un individualisme destructeur de l'humanisme. Où cela nous mènera-t-il ?

Le portrait de Jésus que dessinent les trois premiers évangiles tout au long du récit de la Passion et de la Résurrection laisse apparaître, comme en filigrane, toute une série de figures du Premier Testament : "les figures de l'origine", Adam, Abel, Noé, Abraham et Joseph ; "les figures de l'histoire", de Moïse à Jérémie en passant par Josué, David surtout et Élie; "la figure de la fin" avec le serviteur souffrant qui représente la fin des figures.

Présentées et conclues par cinq textes des papes Jean XXIII, Paul VI et des Pères du Concile, les huit conférences d'une heure, données par monseigneur Gérard Defois, évêque émérite de Lille, présentent d'une manière claire, vivante et documentée les principaux textes du Concile Vatican II. Une façon passionnante de (re)découvrir l'esprit des grands documents conciliaires qui irrigue la vie de l'Eglise depuis un demi-siècle.

Plus l'Humanité se raffine et se complique, plus les chances de désordre se multiplient et leur gravité s'accentue ; car on n'élève pas de montagne sans creuser des abîmes, et toute énergie est également puissance pour le bien et pour le mal. Tout ce qui devient souffre et pèche. La vérité sur notre attitude en ce monde, c'est que nous y sommes en croix.

Depuis son enfance au milieu des plus pauvres, une conviction habitait le père Joseph Wresinski : le chrétien naît le regard tourné vers le plus misérable ; l'Église, c'est les pauvres, réellement. Là où l'homme le plus méprisé est oublié, l'humanité est cassée, l'Église absente, le Christ bafoué. Cette interview réalisé par Gilles Anouil, ancien rédacteur en chef de Preuves et rédacteur en chef adjoint de Réalités montre bien comment le message du père Joseph, sa vie personnelle et la création du mouvement ATD Quart-monde ont été intimement mêlés. En même temps il fait toucher du doigt à quel point on peut ignorer l'existence et l'ampleur de la grande pauvreté.

Plus l'Humanité se raffine et se complique, plus les chances de désordre se multiplient et leur gravité s'accentue ; car on n'élève pas de montagne sans creuser des abîmes, et toute énergie est également puissance pour le bien et pour le mal.

Plus l'Humanité se raffine et se complique, plus les chances de désordre se multiplient et leur gravité s'accentue ; car on n'élève pas de montagne sans creuser des abîmes, et toute énergie est également puissance pour le bien et pour le mal. Tout ce qui devient souffre et pèche. La vérité sur notre attitude en ce monde, c'est que nous y sommes en croix.

Plus l'Humanité se raffine et se complique, plus les chances de désordre se multiplient et leur gravité s'accentue ; car on n'élève pas de montagne sans creuser des abîmes, et toute énergie est également puissance pour le bien et pour le mal. Tout ce qui devient souffre et pèche. La vérité sur notre attitude en ce monde, c'est que nous y sommes en croix.