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"Sido" et "Les Vrilles de la vigne" sont deux textes distincts de l’œuvre de Colette, tous deux d’inspiration autobiographique. Dans "Sido" (1930), Colette évoque le souvenir de sa mère tant aimée, puis son père, l’amour qui unissait ses parents et raconte son enfance heureuse au sein d’une campagne bourguignonne idyllique. Cette éducation harmonieuse a profondément marqué sa manière de vivre. Sous le personnage de l’écrivaine parisienne affleure la jeune fille qui apprit à vivre au rythme des saisons et à goûter la sensualité de la vie.

Claudine, 15 ans, vit à Montigny avec son père, homme distrait, plus préoccupé par les mollusques que par l'éducation de sa fille. Celle-ci fréquente la petite école du village, cadre principal des aventures décrites dans ce livre, présenté comme le journal intime de la jeune fille. Son quotidien est rythmé par les promenades avec sa sœur de lait Claire, qui lui raconte sa vie amoureuse, et les leçons de musique avec Antonin Rabastens qui lui fait la cour.

Lise Manin nous présente une biographie de l'écrivain Colette dont l'existence hors-norme se révèle au travers des nombreuses sources mobilisées et de son œuvre qui présente une dimension autobiographique. L'auteure retrace la vie d'une femme dont l'œuvre multiforme a questionné les normes de genre dans la France des XIXe et XXe siècles, suscitant engouements et scandales. Personnalité du milieu littéraire et théâtral parisien, Colette a aimé de façon inconventionnelle, s'est mariée trois fois et a vécu publiquement sa bisexualité.

" Toute leur enfance les a unis, l’adolescence les sépare. " Phil, 16 ans, et Vinca, 15 ans, amis de toujours, passent leurs étés en Bretagne. Tout naturellement, l’amour s’installe entre ces deux complices inséparables, un amour qui grandit plus vite qu’eux. Cet été-là, Vinca et Phil découvrent leurs différences et leurs incompréhensions. Ces amours adolescentes révèlent à Vinca et à Phil ce qu’ils sont désormais et ne seront jamais plus. Et ces vacances s’achèvent sur un adieu à l’enfance, amer et nostalgique.

Dans ce roman d’éveil, Colette nous plonge dans l’histoire de Minne, une jeune femme à la croisée des chemins entre innocence et désir d’émancipation. Élevée dans un milieu bourgeois monotone, Minne rêve d’une vie plus intense et audacieuse, loin des conventions qui l’enferment.

Léa de Lonval, une courtisane de près de cinquante ans, est la maîtresse de Fred Peloux, surnommé Chéri. À mesure qu’elle constate le manque de conviction croissant de son jeune amant, Léa ressent, avec autant émerveillement que d’amertume, les effets d’une passion qui sera la dernière. Pourtant, il suffira à Chéri d’épouser la jeune Edmée pour comprendre que la rupture avec Léa n’irait pas sans regrets.

Le roman relate la passion d'un jeune homme, Alain, pour son animal de compagnie, Saha, une fascinante chatte de la race des Chartreux. Jeune marié, il reste impénétrable aux yeux de sa femme, Camille, qui se prend de jalousie pour la chatte, la favorite insurpassable. Dès lors, pour l'amoureuse délaissée, aucun procédé ne sera trop brutal pour écarter l'animal de son chemin. Alain semble indifférent au charme de Camille et reste fidèle à sa chatte.

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"Claudine s'en va" est le quatrième et dernier volet d'une "Tétralogie" retraçant, de l'enfance au mariage ("Claudine à l'école", "Claudine à Paris"), et du mariage au divorce ("Claudine en ménage", "Claudine s'en va"), la vie romancée de Colette. C'est ce qu'elle reconnaît de mauvaise grâce. Ainsi, à la question de savoir si "Claudine s'en va" reflète le moment où elle pense se séparer de son mari Willy, Colette répond : "Oh ! si peu. Je veux bien vous dire qu'il y a dans ce mince volume une coïncidence avec des circonstances de ma vie personnelle, mais elles sont de peu de poids, du moins de peu de poids littéraire".

Au cœur du Paris éclatant de la Belle Époque, *Gigi* nous raconte l’histoire d’une jeune fille vive et audacieuse, élevée par sa grand-mère et sa tante pour devenir une femme élégante et accomplie. Mais Gigi n’est pas une élève docile : son esprit libre et son humour tranchant la rendent unique. Elle défie les conventions avec une fraîcheur désarmante et refuse de se laisser enfermer dans les attentes de son époque.

À bien des égards, Renée, l'impétueuse narratrice de La Vagabonde, se pose comme le double de Colette qui signe ici son roman le plus personnel. Comme elle, sa jumelle littéraire est divorcée, actrice de music-hall, écrivaine et surtout farouchement indépendante. Elle se laisse pourtant toucher par Max, un homme beau, brillant et riche : une intrigue simplissime dont Colette a l'audace de prendre le contre-pied pour mieux interroger l'indépendance, le courage et la liberté des femmes et réaffirmer leur force.

"Je trouvai aimables la couleur sourde et rouge des lumières voilées, la blanche flamme en amande des lampes à opium, l'une toute proche de moi, les deux autres perdues comme des follets, au loin, dans une sorte d'alcôve ménagée sous la galerie à balustres. Une jeune tête se pencha au-dessus de cette balustrade, reçut le rayon rouge des lanternes suspendues, une manche blanche flotta et disparut avant que je pusse deviner si la tête, les cheveux dorés collés comme des cheveux de noyée, le bras vêtu de soie blanche appartenaient à une femme ou à un homme."
C.

Au cœur du Paris étincelant de la Belle Époque, Gigi raconte l’histoire d’une jeune fille vive et audacieuse, formée par sa grand-mère et sa tante à devenir une femme raffinée et accomplie. Pourtant, Gigi refuse de se conformer aux attentes traditionnelles : son esprit libre et son humour piquant la rendent unique. Elle bouscule les conventions avec une spontanéité désarmante et revendique son indépendance. L’arrivée dans sa vie de Gaston Lachaille, un riche séducteur lassé des mondanités, fait naître une relation aussi imprévisible que captivante.

Sous le soleil brûlant d’un été en bord de mer, Phil et Vinca, deux adolescents liés par une amitié d’enfance, découvrent les premiers troubles de l’amour et du désir. Entre les jeux innocents de l’enfance et les mystères de l’âge adulte, leur relation vacille, tiraillée entre passion naissante et innocence perdue.

Ce livre n’a aucun pouvoir magique. Il s’adresse à ceux qui veulent améliorer leurs relations affectives et à ceux qui souhaitent comprendre la cause de leurs souffrances relationnelles et qui sont prêts à prendre des moyens pour s’en sortir.

Dans Sido, publié pour la première fois en 1930, Colette évoque le souvenir de sa mère tant aimée, puis son père, l’amour qui unissait ses parents et raconte son enfance heureuse au sein d’une campagne bourguignonne idyllique. Cette éducation harmonieuse a profondément marqué sa manière de vivre. Sous le personnage de l’écrivaine parisienne affleure la jeune fille qui apprit à vivre au rythme des saisons et à goûter la sensualité de la vie.

Claudine et son père ont quitté leur village de Montigny pour s'installer à Paris, où la jeune fille va découvrir la vie parisienne avec le soutien de son cousin Marcel, son ami, son confident et son complice. Elle finit par s'habituer à la vie dans cette ville qu'elle trouvait dure au début, et commence à sortir et à mener une vie mondaine. Elle ne tarde pas de tomber amoureuse de Renaud, chroniqueur de la vie mondaine, un grand séducteur aux tempes grisonnantes. Malgré l'hostilité de Marcel dont c'est... le père, elle finit par épouser Renaud.

L'acceptation et le lâcher-prise se veut un hymne à la paix, autant à la paix intérieure qu'à la paix dans le monde. Ce livre vous propose des moyens accessibles pour dissoudre les guerres en vous et autour de vous et pour apaiser les souffrances de vos blessures causées par l'abandon, le rejet, l'humiliation, le pouvoir, la culpabilisation, la trahison et la dévalorisation. Entre la résignation et la résistance devant les épreuves de la vie, il vous présente une troisième voie: celle de l'acceptation et du lâcher-prise.

Voici un ouvrage sur la relation affective et profonde, un livre d’espoir en ce début de siècle où les difficultés relationnelles mènent souvent aux conflits non résolus, aux "faire semblant", à l’incommunicabilité, voire à la rupture.

"La guérison intérieure par l'acceptation et le lâcher-prise" se veut un hymne à la paix, autant à la paix intérieure qu'à la paix dans le monde. Ce livre vous propose différentes pistes accessibles pour dissoudre les guerres en vous et autour de vous, et pour apaiser les souffrances de vos blessures causées par l'abandon, le rejet, l'humiliation, le pouvoir, la culpabilisation, la trahison et la dévalorisation. Entre la résignation et la résistance devant les épreuves de la vie, il vous présente une troisième voie : celle de l'acceptation et du lâcher-prise