Ainsi, « Glacé » a notamment remporté le Prix du meilleur roman francophone au Festival polar de Cognac et a été traduit dans 22 langues. Ce roman de Bernard Minier a été adapté sous la forme d’une série télévisée et a permis d’introduire le commandant Martin Servaz, policier de Toulouse qui est devenu le personnage récurrent de l’auteur.
Bernard Minier et ses très nombreux bestsellers
Parmi les auteurs de polars les plus connus et les plus lus en France, Bernard Minier ne s’est pas arrêté en si bon chemin et « Le Cercle », « N’éteins pas la lumière » ou encore « Sœurs » font partie des nombreux bestsellers de l’auteur.
Glacé
Prix du meilleur roman francophone au Festival polar de Cognac, « Glacé » demeure le premier ouvrage de Bernard Minier. Dans une vallée encaissée des Pyrénées, au petit matin d'une journée glaciale de décembre, les ouvriers d'une centrale hydroélectrique découvrent le corps sans tête d'un cheval, accroché à la falaise. Ce même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. C’est également dans ce tout premier roman que l’on fait la connaissance du commandant Servaz, héros principal de Bernard Minier.
Le Cercle
Dans « Le Cercle », la mort semble s’acharner sur Marsac, une petite ville universitaire du Sud-Ouest. Ainsi, on retrouve une professeure assassinée, mais aussi un éleveur dévoré par ses propres chiens. De plus, le commandant Servaz se voit confronté à un mail énigmatique, qui pourrait être signé par un serial killer des plus retors. Le héros de Bernard Minier va encore une fois être plongé dans un univers de perversité.
Une Putain d’histoire
Cette « putain d’histoire », c’est l’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l'enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu'au plus noir de ses secrets. Ou en tout cas, c’est ce que tout le monde croit. Seulement cette histoire, c’est aussi une histoire d’amour et de peur. Et lorsque la peur gagne, la vérité se perd.
N'éteins pas la lumière
Le soir de Noël, Christine Steinmeyer, animatrice radio à Toulouse, trouve dans sa boîte aux lettres le courrier d'une femme qui annonce son suicide. Elle est convaincue que le message ne lui est pas destiné. Serait-ce un mauvais canular ? Quand le lendemain, en direct, un auditeur l'accuse de n'avoir pas réagi, il n'est plus question de malentendu. Et bientôt, les insultes, les menaces, puis les incidents se multiplient, comme si quelqu'un cherchait à prendre le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s'effondre. Avant que l'horreur fasse irruption. Et dans « N’éteins pas la lumière », une fois de plus, c’est probablement uniquement sur le commandant Martin Servaz qu’il va falloir compter.
La Chasse
« Il y a des ténèbres qu'aucun soleil ne peut dissiper. » Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier met en avant les dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, « La Chasse » est un roman d'une actualité brûlante sur les sentiers de la peur. Et encore une fois, Martin Servaz va jouer son honneur autant que risquer sa vie.
Sœurs
Mai 1993. Deux sœurs, Alice, 20 ans, et Ambre, 21 ans, sont retrouvées mortes en bordure de Garonne. Vêtues de robes de communiantes, elles se font face, attachées à deux troncs d'arbres. À cette époque, Martin Servaz est encore jeune et il vient d'intégrer la police judiciaire de Toulouse. Il participe alors à sa première enquête. Très vite, il s'intéresse à Erik Lang, célèbre auteur de romans policiers, à l'œuvre aussi cruelle que dérangeante.
De nombreuses années plus tard, par une nuit glaciale, l'écrivain Erik Lang découvre sa femme assassinée... elle aussi vêtue en communiante. Vingt-cinq ans après le double crime, Martin Servaz se voit rattrapé par l'affaire. Une épouse, deux sœurs, trois communiantes... et si l'enquête de 1993 s'était trompée de coupable ? Pour Martin Servaz, le passé va se transformer en véritable cauchemar. Peur, soumission, mensonges, manipulation cohabitent dans ce thriller de Bernard Minier.
La Vallée
Dans cette enquête de Martin Servaz, on assiste à un appel au secours au milieu de la nuit, dans une vallée coupée du monde. Mais il y a aussi une abbaye pleine de secrets, une forêt mystérieuse, une série de meurtres épouvantables, une population littéralement terrifiée qui veut se faire justice ainsi qu’un corbeau qui accuse. Bref, une communauté au bord du chaos.
Nuit
C’est une nuit de tempête en mer du Nord : secoué par des vents violents, l'hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plateforme pétrolière. Cette inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d'une technicienne de la base off-shore et un homme manque à l'appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos.
Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz. L'absent s'appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d'un enfant. Au dos, juste un prénom : GUSTAV.
M, Le Bord de l’abime
Pourquoi Moïra, une jeune Française, se retrouve-t-elle à Hong Kong chez Ming, le géant chinois du numérique ? Et pourquoi, dès le premier soir, est-elle abordée par la police ? Pourquoi le Centre, siège ultramoderne de Ming, cache-t-il tant de secrets ? Alors qu'elle démarre à peine sa mission, Moïra a déjà la conviction que la vérité qui l'attend au bout de la nuit sera plus effroyable que le plus terrifiant de ses cauchemars.
Lucia
À l'université de Salamanque, un groupe d'étudiants en criminologie découvre l'existence d'un tueur qui a réussi à échapper à la police depuis plusieurs décennies et qui met en scène ses victimes en s'inspirant de tableaux de la Renaissance. À Madrid, l'enquêtrice Lucia Guerrero trouve son équipier crucifié sur un calvaire et se lance sur les traces de celui que l’on surnomme le « tueur à la colle. »